Les survolé.e.s
Ce sont principalement des privé.e.s qui résident dans les zones survolées par les avions au décollage ou à l’atterrissage. La densité d’adhésions est directement liée à l’empreinte de bruit des avions projetée sur le terrain.
Locataires, propriétaires
Que vous soyez locataire ou propriétaire, vous subissez les mêmes nuisances
- la pollution de l’air (dépôt de suie au balcon, au jardin et, on peut supposer, dans les poumons) ;
- les émissions NOx (le trafic aérien sera responsable de 40 % des émissions cantonales d’ici 2030) ;
- le bruit (fenêtres toujours fermées, dimanches au jardin gâchés) ; etc.
Perte de valeur
Pour les propriétaires il y a le problème additionnel, mais pas moindre, de la dévaluation progressive de leur propriété au fur et à mesure que leurs zones de résidence deviennent des zones inconstructibles selon la loi. Certains ont vu leurs investissements chuter de 70 %. La commune de Genthod est particulièrement affectée par l’impossibilité d’accueillir de nouvelles familles à cause de l’interdiction de construire.
Confédéré.e.s
Nous comptons également parmi nos membres des Vaudois.e.s, y compris une commune vaudoise.
France
Et aussi des Français.e.s, surtout à Ferney Voltaire (Ain), où l’aéroport a déjà avalé des tracts boisés et menace d’empiéter encore plus sur le territoire français par le développement de la zone nord de l’aéroport, faisant fi des conventions bilatérales pertinentes entre la France et la Suisse. À Nernier (Haute-Savoie) les résidents se plaignent depuis des années des trajectoires qui amènent les avions à voler directement au-dessus de leurs résidences.
Communes
Nous nous félicitons de l’appui de certaines communes, qu’elles soient riveraines ou plus éloignées de la source des nuisances.
Public plus large
Des personnes privées qui voient dans notre existence et activité un moyen de combattre les excès de la consommation qui mettent en péril la qualité de vie dans notre région et encore plus loin.